Mon amie Rose

Le Grand Dictionnaire du Covidocene – Mots neufs contre novlangue piégée (wordpress.com)

Un covidingue peut en cacher un autre

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Cheminer seule

Depuis trois ans, face à la tyrannie sanitaire, je pensais qu’a défaut d’être un peuple. il suffisait d’être opposants pour former une communauté . J’ai été heureuse de cheminer avec vous tous mais à présent, je vais continuer seule cette route en m’éclairant de ma conscience et de ce que mes lectures, mes expériences, et mes rencontres m’ont appris.

Twitter s’éteint à petit feu miné par la censure, l’inintelligence artificielle de l’algorithme, les impasses politiques et un narratif où se mêlent des réflexions pertinentes et fantasmes conspirationnistes.

Depuis le début de la « pandémie », la réalité de la tentative de domination du monde par le WEF voulant imposer un nouvel ordre mondial.est apparue au grand jour. Ce n’est pas un fantasme. Le but des mondialistes est clairement affiché et dans ce sens , ce n’est pas un complot (un complot étant par définition secret) mais un plan dont toutes les étapes sont planifiées.

L’irruption dans nos vies de cet ennemi mondial qui déclare la guerre aux peuples jusqu’à imposer des injections géniques massives pout décimer et stériliser une bonne partie le la population est d’une grande violence.

Difficile d’analyser les différents évènements avec sérénité. Certains se réfugient dans le déni. D’autres campent sur des idéologies manichéennes qui les rassurent. Ceux qui se posent en opposants, cherchent une explication en se laissant parfois influencer par des thèses que l’on pourrait qualifier de complotistes si ce mot n’avait pas été utilisé par le pouvoir pour discréditer toute position contraire à la doxa.

Dans ces temps troubles peuvent ressurgir les vieux penchants qui ont déjà emmené l’humanité vers le chaos : les extrémismes qui ne sont pas toujours ceux que l’on croit, les crispations idéologiques, l’antisémitisme, la délation et le collaborationnisme….

Je ne naviguerai jamais dans les eaux troubles de antisémitisme qui s’est trouvé une respectabilité en se drapant dans ses habits d’antisionistes.

Quand Christine Deviers Joncourt écrit :

« Qui se rend compte que le 4ème Reich a été créé de toutes pièces pas ces salopards de sionistes rothschildiens en exfiltrant tous les hauts dignitaires nazis via la Suisse, via le Vatican, avec l’aide de la CIA, bras armé de toute cette merde. »

Et plus loin « Et encore, ne parlons pas de cette mafia sioniste qui existe depuis l’expulsion des Khazars de leur fief, l’Ukraine, par les russes. »

Il y a dans ces propos d’indéniables relents antisémites. Devant ma remarque, un internaute m’a fait remarquer qu’il ne faut pas confondre antisémitisme et antisionisme ( ça fait plus de 15 ans que j’entends cet argument) et que ce n’est pas le juif lambda qui est visé.

Pourtant cet antisionisme ne trouve-t-il pas ses racines dans l’utilisation du « Protocole des Sages de Sion » par Hitler comme base de réflexion pour l’écriture de Mein Kampf ? Ce document créé de toutes pièces en 1905 est à l’origine de sa dénonciation du complot mondial juif qui justifiera ses obsessions antisémites. A la base, il s’agissait pour lui de combattre la finance internationale juive accusée de dominer le monde mais au final c’est bien six millions de « juifs lambda » qui ont été exterminés par les nazis.

Il n’est pas possible de l’oublier en recyclant pour notre combat, une rhétorique qui ressemble comme deux gouttes d’eau à celle ayant entraîné le plus grand génocide du XXe siècle.

De brillants intellectuels qui flirtent avec la mouvance antisémite trouvent un écho auprès d’un public désemparé qui cherche à expliquer le pourquoi et le comment de la destruction qui s’observe sous nos yeux.

Youssef Hindi excelle dans l’art d’utiliser les évènements actuels avec pertinence pour distiller une analyse géopolitique ramenant inlassablement au « messianisme juif » qui selon lui explique l’histoire de l’humanité depuis le Moyen Age. Je pourrais me laisser séduire devant ses arguments souvent troublants mais mon passé m’a alerté des ruses de l’antisémitisme qui cherche une caution morales à sa résurgence.

Je ne peux pas faire comme si je ne savais pas. Pendant des années, mes amis Yvette et Armand ont publié des articles sur l’antisémitisme (et l’antisionisme) sur leur blog hébergé par le site de l’Obs uis sur celui Monde quand la censure de l’Obs est devenue trop forte.

Leurs articles très documentés ont suscité des milliers de commentaires, des polémiques violentes et même parfois des menaces. Ils étaient enfants quand le nazisme a décimé leur famille. Dans dix ans , il n’y aura plus de témoin de cette époque et tout pourra recommencer. Je dois à Armand et Yvette de ne jamais oublier ce que j’ai appris et compris grâce à eux.

Je le dois aussi à ma grand-tante qui contrairement à ma grand-mère est restée fidèle à sa religion. Je le dois surtout à Paulet souriant sur une photo jaunie de son salon, pauvre enfant de 7 ans victime des délires d’Hitler sur le complot juif international.

Si combattre la doxa mondialiste, l’injecticide, la tyrannie passe par une complaisance envers des idées dont on connaît les tenant et les aboutissants, ce sera sans moi.

Je continuerai d’écrire, de tenter décrypter les évènements dont la complexité hélas constitue le terreau des dérives antisémites . Je n’ai pas le souci de plaire ni de me faire des amis. Tant pis si je ne suis lue que que par des rares personnes qui cherchent à réfléchir au-delà des évidences trop faciles.

Il se peut que certaines choses m’échappent. Je ne prétends pas détenir la vérité mais je ne peux pas faire abstraction de ce que je sais.

Lettre ouverte à Bernard Lavilliers

Je ne sais si tu liras ces lignes écrites par « une conne antivax attendant un dictateur »  Probablement pas car si tu avais la capacité de remettre en cause tes certitudes infondées, ce serait déjà fait .Je n’ai pas la prétention de penser que je pourrais te faire changer d’avis.

Cette lettre, je l’écris peut-être pour toi si par hasard tu la lis, mais surtout pour moi, pour nous, pour eux, tous les résistants qui ont eu la force de n’écouter que leur conscience parce qu’on ne transige pas avec la vérité.

Contrairement à beaucoup de déçus outrés par tes mots qui nous condamnent bêtement, je n’évalue pas la création de toute ta vie à l’aune de ce propos. Si tu fais partie des personnes dont la vieillesse est un naufrage, ça n’enlève rien à ton œuvre passée.

Pour moi, la question n’est pas de séparer l’homme de l’artiste car l’artiste puise en lui la matière brute de sa création et il compose avec ses rêves, son idéal, son désir d’harmonie mais aussi avec la part sombre de son être.

Céline était un sale type, antisémite et détestable mais son voyage au bout de la nuit est un chef d’œuvre et son style a révolutionné la littérature. De Céline, je ne retiens que quelques livres.

Nous avons tout vibré avec les poèmes d’Arthur Rimbaud sans nous encombrer du fait qu’ensuite l’homme a été moins reluisant. Nous avons oublié le trafiquant d’armes pour ne garder de lui que sa poésie .

La création est ce que l’artiste donne à l’humanité même lorsque la société ignore ce don. Certaines œuvres sont dérangeantes quand elles émanent de détenus ou de personnages peu recommandables mais elles tracent un pont entre les eaux glauques et la lumière.

Je ne renie jamais une œuvre que j’ai appréciée même si son créateur me déçoit par la suite. Pourquoi brûlerais-je ce que j’ai aimé, qui m’a aidé à me construire et à devenir ce que je suis.

Le Bernard Lavilliers qui m’a touchée avec sa voix rauque, ses musiques exotiques et le chemin solitaire de l’homme libre a rejoint le panthéon de mes rêves de jeunesse et des auteurs aimés. Je t’ai vu à une fête de Libé dans les années 70. J’ai acheté certains de tes albums.

Mais un panthéon, abrite les morts et si je te fais une place dans le mien aux cotés de Léonard Cohen, Janis Joplin, Serge Gainsbourg ou Jacques Higelin et quelques autres, c’est que le Bernard Lavilliers de ma jeunesse est mort peut-être depuis longtemps

Comme d’autres artistes, tu as trébuché et le piège du covidisme s’est refermé sur toi. Comment réussis-tu le tour de force de mêler dans un même entretien des propos pertinents sur le langage creux utilisé par les politiques et une déclaration aussi stupide sur ceux que tu appelles les antivax ?

Tu t’accroches à un faux vaccin pour conjurer ta peur de la mort en espérant que cette mixture va te sauver. Je n’ai pas à juger ton choix. Mais traiter d’antivax et de « connards espérant une dictature « les personnes qui ont fait l’effort de s’informer, te mets hors jeu. Pas question que j’écoute une seule chanson de ton nouvel album ni que je t’écoute si tu passe à la télé. Mais je sais pardonner à quelqu’un qui reconnaît sincèrement son erreur et présente ses excuses.

As-tu pris la peine de regarder les photos des visages des personnes parfois très jeunes mortes après avoir reçu cette injection? Penses tu aux larmes de leurs familles : Des connards d’antivax ?

Et tous ces scientifiques parmi les meilleurs du monde qui n’ont pas hésité à fragiliser leur réputation par honnêteté morale et intellectuelle  : Leur rigueur ne pouvait s’accommoder de imposture consistant à faire passer pour un vaccin un traitement génétique expérimental. Pouvaient-ils se taire sachant qu’il n’immunise pas, ne rend pas moins contagieux ? Pouvaient-ils ne pas nous avertir des risques pour notre santé ? Fallait -il cacher ’irréversibilité de cette expérimentation génétique pour l’humanité ?: Des connards d’anivax?

Et ces médecins, interdits d’exercer parce qu’ils ont refusé l’injection toxique ? Certains ont radiés de l’ordre pour avoir bravé l’interdiction de lEtat de soigner les malades du Covid. ! Des connards d’antivax ?

Et tous les personnels suspendus, soignants pompiers mais aussi secrétaires médicales, cuisiniers, bibliothécaire, tous faisant partie de ce peuple que du prétends aimer ! Ils se sont retrouvé sans l’emploi qui leur permettait de vivre.. Une partie d’entre eux n’a plus de logement. Des couples se sont brisés Des connards d’antivax ?

Comme des parias, nous avons subi le pass de la honte nous interdisant la plupart des lieux de culture de loisirs et de convivialité. Nous avons été la cible des médias propagandistes appelant à la haine contre nous à notre exclusion et à notre mort sociale. Penses-tu vraiment que nous avons sacrifié notre liberté pour l’offrir à un dictateur appelé de nos vœux ? Le pass vaccinal n’était-il pas déjà la preuve que nous étions en dictature? Mais de toute évidence, le marginal que tu prétendais être a rejoint la meute.

« On the road again », ce sont désormais ceux d’entre nous qui ont été dépossédés de leurs repères sociaux mais qui n’ont pas renoncé à leur dignité. Condamnés à l’errance sur une route incertaine, ce chemin peut mener jusqu’à Compostelle. Je les aime tous, Ils sont ma voix, mon espoir ma foi en l’humanité.

Nous chérissons la liberté et si un jour un dictateur parvient à nous emprisonner, notre âme lui échappera toujours . Elle danse dans la lumière de la conscience et de la vérité. Ça les rend fous, les dictateurs, C’est pour ça que Macron refuse de réintégrer les résistants suspendus par lui pour avoir refusé la marque de la Bête.

Tu es passé complètement à côté, Bernard. Il serait plus exact de dire que tu es passé de l’autre côté. Tu ne liras sans doute jamais cette lettre. Dommage. Adieu, Bernard, je t’aimais bien tu sais , mais c’est toi qui a pris congé de nous en fustigeant le monde de ceux qui se battent pour la liberté.

L’ex-libertaire Michel Onfray et la vaccination obligatoire

Mieux que tous les discours, toutes les promesses électorales la question : « Êtes vous pour ou contre l’obligation de vaccination contre le Covid ? » montre de quel bois se chauffe le politique, l’intellectuel ou l’expert promu par les médias. C’est la question qui tue.

Difficile de pratiquer le  » en même temps » : « Ce vaccin comporte un risque important mais on doit vacciner tout le monde. » Pas vraiment défendable pour un politique craignant de perdre des électeurs.

Fort heureusement, il reste des intellectuels pour éclairer notre lanterne. Interrogé sur CNews , Michel Onfray décrète que « La défiance envers le vaccin est un recul de la culture qui va avec l’augmentation de l’individualisme».

Sans vouloir entrer ici dans la différence entre les vaccins qui nous ont été injectés pendant notre enfance et celui qui risque d’être choisi utilisant des OGM, il me semble que Michel Onfray est dans la confusion sans doute à cause de ses préjugés. Penser que les personnes qui craignent le vaccin sont complotistes donne à celui qui adopte la position contraire, l’illusion de la rationalité.

Lorsque Michel Onfray met la défiance envers le vaccin sur le compte de l’individualisme, il se trompe. En défendant le principe d’inviolabilité du corps humain sans le consentement éclairé de la personne, les gens qui refusent l’obligation de vaccin ne le font pas seulement pour eux-mêmes. Vouloir préserver l’intégrité corporelle et spirituelle de l’être humain marque l’attachement à la dignité du genre humain.Refuser de se faire vacciner n’entrave en rien la liberté des gens qui souhaitent l’ être. Si le vaccin est efficace, ils seront protégés.

La seule exception autorisant l’absence de consentement éclairé concerne un acte médical pratiqué en urgence sur une personne inconsciente dans le respect de l’éthique et du serment d’Hippocrate.

Pourquoi le refus d’un vaccin conçu à la hâte et que les gouvernants sont avides d’imposer sous la contrainte répondrait-il à une défiance individualiste ? Et pourquoi serait-ce plus civique de l’accepter en masse ?

Qu’est-ce qui permet à Michel Onfray d’affirmer qu’un tel vaccin apporte une protection à la société ? Les vaccins ont été inventés pour venir à bout de maladies mortelles . Pourquoi vacciner toute une population pour une maladie qui parait-il guérit sans traitement dans 90% des cas ? Pourquoi ne pas prescrire aux plus vulnérables une antibiothérapie dès les premiers symptômes pour éviter les complications ?

Refuser le vaccin contre le Covid ne répond en rien à une démarche individualiste parce qu’il ne faut en attendre aucun confort ni avantage personnel.

C’est un acte de résistance qui demande beaucoup de courage tant les pressions et menaces vont être fortes pour rendre ce vaccin quasi obligatoire : Risque de perdre son emploi, de ne plus avoir accès aux soins lorsque le certificat de vaccin sera exigé, risque de se voir privé de certaines prestations sociales, de ne plus pouvoir voyager, se distraire. Avec en toile de fond un odieux chantage proposant la levée des confinements successifs en échange de la population vaccinée.

Dans certains pays, il est question de privation de droits civiques, de vaccination forcée sous la contrainte physique, voir isolement et internement pour les gens qui refuseraient.

Tout ça pour le bien de l’humanité  ? Si l’individualisme, c’est afficher une telle résistance face à de pareilles menaces, alors vive l’individualisme !

Je ne sais pas combien de personnes résisteront à une telle pression et pour être tout à fait franche, je ne sais même pas si j’aurais ce courage tout en sachant que je préférerais mourir que de subir une telle violence.

Je suis désolée de constater que, l’ex-libertaire Michel Onfray défend une obligation vaccinale s’inscrivant dans une logique totalitaire. Contrairement à sa moraline à deux sous sur le civisme et la protection de la collectivité, je pense au contraire que les personnes qui se lèvent contre l’arbitraire et la dictature servent beaucoup plus l’humanité que la cohorte du moutons allant se faire vacciner pour une hypothétique immunité de troupeau.

Les éveillés, les lanceurs d’alerte et les résistants sont les seuls espoirs de mettre en échec la course folle des dirigeants vers le nouvel ordre mondial.

Intervention de Michel Onfray sur CNews :

 

Dis-moi de quoi tu as peur, je te dirais qui tu es

Gens masqués s’écartant avec terreur des inconscients qui osent se promener avec le masque sur le menton ou gens tétanisés par la crainte d’entrer dans l’enfer orwellien de 1984 ou celle d’être précipités dans les tourments de l’Apocalypse, on a désormais l’impression de n’avoir plus le choix qu’entre deux peurs.

Faut-il se résigner à choisir sa peur ? Si c’était possible, je crois que je préférerais encore redouter le virus. Il suffit de s’en protéger par un masque fétiche qui le tient à distance et compter sur la science pour en venir à bout grâce à un vaccin créé par la baguette magique de Bigpharma. Par contre, si c’est la fin du monde, nous sommes tous foutus…

Sauf que la peur n’est pas un choix car si elle était une option, elle deviendrait rationnelle. Or la peur échappe à la raison. Elle peut cependant être provoquée par une propagande anxiogène, ce qui se passe actuellement avec le Covid.

Dédramatiser la situation tout en reconnaissant la manipulation politique pour dominer les peuples est-il plus rassurant ? Certainement pas et dans une certaine mesure, c’est bien pire. On peut avoir une certaine maîtrise sur le virus en évitant autant que possible les situations à risques se masquant librement en certaines circonstances et en renforçant son immunité. En cas de maladie, on peut toujours s’appuyer sur des médecines naturelles. Pour peu que l’on connaisse un médecin prêt à prescrire l’azithromycine , le covid n’apparaît plus comme une menace et l’on peut se libérer de cette peur.

Mais pourquoi les pouvoirs publics ne choisissent-ils pas d’autoriser les médecins à soigner correctement les personnes symptomatiques (notamment celles à risques) en vue de limiter les hospitalisations et les décès ?

Ça en devient angoissant : Le scandale du Doliprane a été dénoncé et pourtant, rien ne semble avoir changé dans le traitement du Covid. Pourquoi ?

Et pourquoi continuer à faire peur au gens les obliger à porter un masque jusque dans les collèges alors que cette maladie ne présente plus de réel danger ?

Pourquoi vouloir à tout prix imposer un vaccin dangereux modifiant définitivement notre ADN ?

Pourquoi avoir ce confinement qui a mis à plat l’économie, isolé les plus âgés, privé de soins des gens qui avaient des maladies graves?

Pourquoi traumatiser les enfants et les bébés en obligeant les gens qui s’en occupent à porter un masque ?

Ces « pourquoi » donnent le vertige. Sans vouloir tomber dans le complotisme ( oh l’horrible mot), il semble clair que ce n’est pas pour notre bien.

Cette attitude se retrouve avec quelques variantes dans presque tous les pays et que c’est l’OMS qui mène la danse, on est bien obligé de reconnaître que ce carcan qui nous étouffe est le produit d’ une gouvernance mondiale.

La particularité française est que depuis Macron , on ne peut plus manifester pacifiquement sans risquer la mutilation ce qui empêche les plus lucides de se mobiliser contre la dictature sanitaire. Car c’est bien d’une dictature sanitaire et il faut être très naïf ou très inconscient pour ne pas en avoir peur.

Jusqu’à présent, affirmer qu’au niveau de la planète se dessinait un nouvel ordre mondial souhaitant asservir les gens en les contrôlant avec les technologies numériques relevait du complotisme.

Pourtant le loup sort du bois, enfin l’un des loups se nommant Bill Gates, il veut vacciner toute la planète. Il ne s’en cache même plus. Les grands médias tels que RTL l’invitent pour que nous nous fassions à cette idée.Une vidéo effrayante censée avoir été publiée par lui le présente en quatrième cavalier de l’Apocalypse semant la maladie et la mort. Impossible de savoir si c’est bien lui qui a diffusé cette vidéo. C’est peut-être un fake mais il contribue à entretenir la terreur qui mène à la folie.

Le nouvel ordre mondial n’est pas un délire de complotiste ou alors ceux qui le revendiquent s’affirment comme les comploteurs. J’ai lu quelques textes alarmistes évoquant le projet nommé great reset qui voudrait une grande réinitialisation de l’économie mondiale et de son système monétaire supposant un contrôle numérique total de la population avec à terme l’intention de la ramener à deux milliards d’individus.

Pour ne pas faire de cauchemars, je décide de ne pas y attacher trop d’importance. Pourtant « The Great reset » est l’objet du forum unique de Davos prévu en janvier 2021 pour remettre les compteurs à zéro : Affaire à suivre.Pas de panique tout de même ! C’est de plus en plus difficile à envisager mais je préfère penser que les délires trans-humanistes pour contrôler la population se heurteront au réel et aux résistances des peuples. La force de vie finit toujours par s’imposer à la place de projets mortifères mais rien n’est gagné d’avance.

Récemment j’ai lu un fil twitter en anglais qui ne prédisait rien de plus que le chaos et la folie dans deux semaines. Les modèles mathématiques ont remplacé Nostradamus pour aboutir au même résultat : Semer la peur : La période semble propice au retour des sectes. Il est vrai que si l’on attache du sens à la symbolique du Diable, ce qui se passe actuellement, l’inversion des valeurs civilisatrices et morales ait furieusement penser que le monde est désormais sous son emprise.

Si ça pousse des gens à prier en toute sincérité pour ramener un peu de lumière et de sérénité au milieu de ce tumulte, pourquoi pas ? Nous avons besoin de toutes les énergies positives.

Mais n’entraînons pas l’humanité dans un délire de fin du monde pour remplir les poches de faux gourous ou la faire sombrer dans des pratiques religieuses obscurantistes ! Les prédictions trop pessimistes plaçant l’individu isolé face à un système mondial qui n’aspire qu’à l’écraser risquent de pousser au suicide des gens fragiles Elles en deviennent malsaines.

La lucidité n’empêche pas la peur. Elle y contribue parce le nouveau monde n’a rien de rassurant. Et pourtant, tout ce que nous pouvons désormais offrir à l’humanité, c’est notre résistance à toutes les formes de psychoses engendrées par cette crise. Ne pas minimiser les dangers qui nous menacent mais garder notre intégrité physique, psychique et spirituelle dans la pleine conscience de ce que nous sommes.

Comment lutter? Le mieux est de se fier à notre instinct un peu comme ces jeunes qui le plus naturellement du monde ne mettent pas de masque, ne renoncent pas à voir leurs amis tout simplement parce qu’ils ont envie de vivre et d’aimer.

Et s’ils avaient raison ?

 

Article tiré d’un blog que je ne connais pas mais qui m’a semblé bien documenté:

http://consciencesansobjet.blogspot.com/2020/07/le-grand-reset-reinitialiser-le-pouvoir_14.html

 

 

En finir avec la peur du Covid

Je n’ai pas envie de me moquer des personnes qui craignent le Covid ni de les critiquer et encore moins de les mépriser. J’ai connu cette peur dès le jour où le premier contaminé officiel de France revenant de Wuhan se trouvait à Bordeaux.

Le lendemain au supermarché : Première frayeur en voyant un couple de jeunes touristes asiatiques devant moi à la caisse. Une distance barrière de plusieurs mètres s’est imposée. J’en avais honte mais je ne pouvais m’empêcher de les considérer comme de potentiels porteurs du coronavirus.

Je commençais à comprendre ce que signifiait vivre avec la peur.  Masques bricolés, gants, désinfection d’objets, des semelles de nos chaussures, de la poignée de la porte de l’immeuble, l’angoisse du virus était partout.

J’ai même eu une altercation avec un couple de voisins parce que mon fils parlait avec eux et que ni les uns ni n’avaient de masque. Comme je lui ai demandé de rentrer, les voisins ont été très vexés.

Je me suis excusée en mettant un mot dans leur boite à lettres. Nous nous sommes expliqués gentiment toujours par correspondance et ils m’ont même proposé de faire nos courses si nous avions peur de les faire.

Ce virus rend fou. Il donne des réactions dont on est peu fier. Lorsque je me suis progressivement libérée de la peur, j’ai recommencé à vivre. Ça n’a pas été trop difficile. Je n’ai pas eu besoin d’un long travail sur moi. Il m’a suffi de reprendre goût à la liberté dès que les terrasses des cafés ont été ouvertes. J’avais déjà auparavant redécouvert le plaisir d’enlever mon masque dans les endroits où il n’y avait personne.

Et surtout, je me suis informée. Des médecins disaient que c’était en milieu clos qu’il fallait porter le masque, les contaminations à l’extérieur étant rares. Ils ont fini par être entendus par le gouvernement mais aujourd’hui, ils sont bien silencieux lorsque abusivement on nous impose le masque dehors. Il est inutile de compter sur eux pour mettre en évidence la débilité de cette mesure lorsqu’elle s’applique à l’échelle de toute une ville comme à Toulouse.

J’ai continué à suivre de près l’évolution de la maladie aidée par tous les internautes qui publient les graphiques sur Twitter. J’ai compris que le virus était affaibli et qu’il ne tue plus que des gens qui meurent d’autre chose que le Covid. On ne compte plus les malades mais le nombre de cas positifs.

On a pourri l’été des gens pour un virus qui actuellement n’est pas pire qu’un rhume. En admettant qu’avec l’hiver, il revienne et devienne plus méchant, il y a tout ce qu’il faut pour le soigner. Il faut le dire et le répéter.

On ne peut pas continuer à se comporter comme si cette maladie était la peste noire qui en 1347 a décimé près de la moitié de l’Europe. Jérôme Salomon avait osé la comparaison. C’est dire la malhonnêteté intellectuelle qui anime ceux qui nous mentent et jouent avec nos peurs.

La peur annihile toute lucidité. Elle peut-être utile pour avertir d’un danger et permettre d’ agir préventivement mais lorsque le danger n’est plus là, la peur devient un obstacle.

Le masque  aurait incontestablement eu son utilité en plein pic épidémique mais s’accrocher aujourd’hui à lui comme à une bouée de secours fait de lui  un fétiche. Les marabouts au pouvoir qui nous imposent ce grigri envoûtent la population pour la dominer par la peur.

Dans le même temps en Afrique, les médecins sérieux ont remplacé les marabouts, ce qui explique leur maîtrise exemplaire de la pandémie avec les traitements efficaces qu’en France la Science avec un grand S nous refuse.

Seuls les charlatans, les mafieux ou les escrocs, les bandits ou les dictateurs imposent leur loi  par la peur. Mais ce n’est pas une méthode de gouvernance digne d’une société démocratique.

J’ai longtemps pensé que les totalitarismes avaient besoin d’un chef suprême adulé par un peuple fanatisé pour exister : Führer, Duce, Petit père du peuple. J’espérais que la détestation de Macron par une grande partie la population le nous préserverait de la dictature. Je découvre que la peur est suffisante pour nous y conduire. Elle parvient même à nous faire aimer ce chiffon en tissu ou en fibres synthétiques plaqué sur le visage.

Demain, elle nous fera aimer les gouvernants qui nous protègent contre ce « connard de virus  » ( Renaud). Elle nous fera accepter le nouvel ordre mondial qui ne cherche qu’à réduire drastiquement le nombre d’habitants de la planète.

Même avec un masque sur le visage, on peut garder les yeux grands ouverts, regarder si autour de soi des gens tombent encore gravement malades du Covid et en meurent : Des personnes pas des chiffres.  On peut aussi se demander si nous voulons vraiment vivre dans un monde où nous devons nous éviter les uns les autres, mettre des barrières entre les gens nous observer du coin de l’œil pour dénoncer les rebelles aux consignes.

S’affranchir de cette peur qui n’a plus  lieu d’être, c’est retrouver sa dignité piétinée par l’humiliation d’avoir été infantilisé. C’est devenir un être libre. Aucune dictature ne pourra entraver cette liberté. Elle peut menacer sanctionner emprisonner, torturer et même tuer mais elle ne peut rien contre une conscience qui se dresse face à elle au-delà d’elle et face au monde qui déraille. Cette conscience-là fera tomber les murs érigés contre la vie, l’amour et la fraternité.

Que l’on sorte manifester contre la dictature sanitaire, que l’on résiste avec des écrits, que l’on ne télécharge pas les outils qui nous contrôlent, que l’on refuse le vaccin OGM ou que l’on défie les interdits , tous ces actes accomplis en pleine conscience font reculer la dictature mondiale qui n’est forte que de nos fragilités.

Vive les atypiques, les inclassables, les inassimilables !

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Renforcée par les crispations identitaires et les guerres, la pensée binaire s’ impose dans un monde qui pourtant de plus en plus complexe. Les vérités d’hier ne sont plus d’aucun secours ,pas plus que les valeurs qui ont permis à l’humanité de progresser.

Si les dirigeants politiques avancent prudemment et donnent souvent l’impression d’improviser les internautes eux, savent ce qu’il convient de dénoncer. Ils savent qui sont les bons qui sont les méchants et comme face à son clavier ces combats finissent par devenir trop abstraits, il leur faut les personnaliser en s’en prenant vivement aux internautes qui pensent autrement. Il arrive parfois qu’ils en oublient même les combats idéologiques à l’origine de leur différends pour ne se consacrer qu’à des altercations personnelles.

Pourtant , ils le font toujours au nom de cette pensée binaire qui les conforte dans leurs échanges conflictuels La pensée binaire propre à tout militantisme devient donc le principal vecteur de propagande idéologique sur le net , mais la plupart des internautes qui l’entretiennent sur les réseaux sociaux ne se contentent pas de la subir passivement. Ils se comportent en soldats. Si ce n’est pas de leur plein gré, ce sont leurs adversaires qui leur confèrent ce statut.

La vraie résistance, c’est la foule des de réfractaires à une caricature de pensée qui piège tous ceux qui voudraient la contrer y compris avec de solides arguments. Plus que jamais toute échappée devient salutaire, du moins pour un temps, avant d’être étiqueté par les gens pour lesquels on n’existe (en positif ou en négatif) qu’à l’intérieur de leurs classifications.

Il faut un certain courage pour sortir de la mêlée. C’est presque une ascèse car lorsque l’on ne joue pas le jeu des échanges sur le net, on est ignoré, ce qui sur Internet correspond à une punition puisqu ‘en publiant un texte les gens aspirent à ce qu’il soit beaucoup lu. Une page vue ne signifie d’ailleurs pas qu’elle soit lue.

Et pourtant , vivent les atypiques, les électrons libres, les inclassables les inassimilables.

Vivent les artistes qui retrouvent leur envol avant de laisser emprisonner leur feu sacré dans une cage rigide. Vivent les poètes, les génies , les malpolis, les boucs émissaires , les idiots inutiles, les fous, les décalés, les physiciens les médiums, les inventeurs , les mystiques les gens qui sont pas là pour être aimés. Vivent les humanistes qui ne s’indignent pas !

Ils ne changeront peut-être pas le monde en faisant un pas de côté. Ou peut-être que si.. Mais chut, il ne faut pas que ça se sache !