De l’injection magique à l’injection tragique

Chaque jour défilent sur Twitter X des messages de personnes annonçant la mort d’un proche : famille amis, voisins ou collègues. Les injections génétiques n’ont inventé ni la mort ni la maladie qui font partie de notre condition humaine. Mais il faut être vraiment aveugle ou s’obstiner à faire du déni une protection contre l’angoisse pour ne pas voir que ces décès et graves séquelles touchent de plus en plus de personnes vaccinées le plus souvent en bonne santé avant les injections.

Je n’ai pas la prétention d’amener à se poser des questions des personnes qui depuis trois ans redoutent ce face à face avec elles-mêmes et la remise en cause de leur choix vaccinal. Elles ne sont pas plus coupables d’avoir reçu ces injections que les femmes qui pensent que si elles se sont faites violer, c’est un peu de leur faute.

Ce n’est pas dégradant de s’accepter victime car si l’on est victime c’est forcément qu’il y a eu des coupables et ce sont eux qui doivent être jugés. Victimes parce que contraintes pour des raisons professionnelles, mal informées ou abusées par des médecins en raison de leur état de faiblesse, ce qui relève aussi de la justice car un abus d’une personne vulnérable constitue un délit.

Ma mère se remet à peine d’une hospitalisation consécutive à la double injection contre la grippe et le covid, vaccinée à un moment où elle souffrait déjà d’une bronchite. On va dire qu’elle était consentante puisque c’était sa sixième piqûre à l’ARM messager pour le Covid et qu’elle est convaincue que tout le monde se fait vacciner ce qui heureusement ‘n’est plus tout à fait vrai.

Au début de son hospitalisation, le médecin m’avait téléphoné pour me dire que je devais me préparer à l’idée qu’elle ne s’en sortirait probablement pas.

Je savais que ma mère était une guerrière mais peut être n’était-ce pas suffisant. Alors, j’ai prié et demandé sur TwitterX que des gens s’associent à ma prière . été impressionnée par l’importance du soutien rencontré. Le miracle s’est produit. Ma maman s’en sort mais pour combien de temps ? Je suis réaliste car je ne pense pas pouvoir la dissuader de renoncer à toute nouvelle injection. Vu son état, le monde médical a un pouvoir total sur elle.

Ma mère est une survivante de l’injecticide. Tous n’ont pas eu cette chance et je suis reconnaissante à l’équipe soignante du petit hôpital de s’être occupée d’elle avec dévouement..

Lorsque des personnes meurent jeunes de l’injection de ce poison, on se sent bizarre de vouloir remuer ciel et terre pour la santé d’une vieille dame de 91 ans aveugle et ne pouvant plus marcher . Mais il se trouve que c’est ma mère !

La journaliste Céline Vergnaud est décédée d’un cancer à 31 ans. Je ne la connaissais pas et même s’il est des moments où la compassion doit l’emporter sur tout autre sentiment, je ne peux pas ne pas me demander si son cancer foudroyant n’est pas dû aux injections à ARN messager.

Son article du 15 avril 2021 sur le vaccinodrome de Bordeaux fait froid dans le dos. Il ne dit rien sur son choix vaccinal car il s’agit d’un reportage ; tous les journalistes étaient obligés de traiter en priorité l’actualité Covid.

En le lisant, nous replongeons en 2021 année infernale ou le sort de l’humanité a basculé en entraînant des milliards d’êtres humains dans une modification génétique dont personne ne mesure tout à fait les conséquences à long terme pour la santé des ‘vaccinés , et pour les générations suivantes

Année noire aussi avec la résurgence du mot vaccinodrome apparu lors de la grippe H1N1 de 2009-2010 pour dénoncer les centres de vaccination voulus par Roselyne Bachelot. L’allusion au Vélodrome sous l’Occupation était d’emblée rédhibitoire. En 2021, le cynisme et la perversité on fait des vaccinodromes des lieux où les gens venaient chercher l’espoir de rester en bonne santé.

Année cauchemardesque aussi que 2021 avec le passe vaccinal et la suspension sans revenus des personnes travaillant en contact avec le public.

L’article de Céline Vergnaud nous replace dans la douce illusion mortelle que l’injection génétique allait sauver des vies, et guérir de la peur de mourir.

La journaliste écrit que des gens venaient resquiller le produit miracle comme en écho à ces retraités de Bordeaux manifestant aux cris de  » On veut des vaccins. On ne veut pas mourir ». Ils les ont eus. Combien sont encore en vie ?

J’aurais voulu que Rose (et sa #guerredulangage) soit encore parmi nous pour réfléchir à ce mot » resquilleurs » si dramatique quand il s’agit de se faire injecter un poison. Combien de rescapés et pour combien de temps  .

https://www.francebleu.fr/infos/sante-sciences/a-bordeaux-le-centre-de-vaccination-du-parc-des-expositions-seduit-y-compris-les-resquilleurs-1618426344