Qu’on me laisse ces maladies qui sont miennes !

Chaque jour l’étau du totalitarisme sanitaire se resserre un peu plus. L’OMS s’impatiente car les gens sont de moins en moins enclins à se faire injecter des nouvelles doses de potion génique expérimentale. Et pourtant, l’OMS veut régner sur le monde, sur le corps de chaque personne avec un quasi pouvoir de vie ou de mort (1) sur chacun d’entre nous.

La recherche médicale s’active pour remplacer les traitements de maladies chroniques par des médicaments modifiant notre ADN(2).

Pendant ce temps, on débat au Sénat d’un projet de loi prévoyant un emprisonnement et 15 000 € d’amende en cas d’incitation à ne pas prendre un traitement.(3) Ils ne savent plus comment refourguer leur came.

Combien de temps sera-t-il possible de résister à cet engrenage diabolique ? je ne veux pas de leurs vaccins et s’il ne restait que des traitements géniques à la place des médicaments habituels, je revendiquerais le droit de ne pas les utiliser quitte à prendre le risque de mourir, faute de soins supprimés alors qu’ils avaient fait la preuve de leur efficacité.

On aura bientôt le droit de décider librement du moment de sa mort avec la future loi sur l‘euthanasie mais on aurait pas le droit de soi-disant risquer la mort en ne suivant pas les consignes de Bigpharma qui ne veut pas que notre bien? Les deux propositions ne sont pas contradictoires. Elles vont dans le même sens puisque la quasi obligation de soins génétiques expérimentaux et l’euthanasie nous mettent en situation passive face à la médecine ou la science qui administrent la mort ou un produit toxique. C’est précisément ce que je conteste.

Si je souffre trop d’une maladie ou d’une situation trop dure, je n’autorise personne à me donner la mort. Je veux aussi avoir la liberté de me suicider et si je n’en avais pas le courage, ce ne serait certainement pas à des soignants de me tuer. Ça signifierait simplement que je ne suis pas prête à mourir et dans ce cas, celui qui m’euthanasierait serait criminel.

Quant à me soigner comme j’en air refuser d’être cobaye relève de mon libre-arbitre et personne ne m’influencera. Je serais prête à signer un papier affirmant que ma démarche de soins est entièrement personnelle.

Je ne cherche pas à combattre la mort car à la fin, c’est toujours elle qui gagne. Qu’on me laisse mes maladies même si elles finissent par m’emporter.. Elles font partie de mon histoire de mes combats et de mes renoncements. Si elles sont des conséquences de mon surpoids, elles, sont une partie de moi. Si elles sont liées au fait que je ne suis pas assez sportive, elles me renvoient aussi à mon adolescence et à ma hantise des cours de gym. Mes maladies sont liées à mon patrimoine génétique comme les problèmes de peau de mon père, les jambes lourdes de ma mère. J’assume ce que j’ai fait de mon corps de même que les maladies pas prévues au programme car tout n’est pas écrit d’avance . Il serait illusoire de penser que l’on a un contrôle total de sa santé. Je dois donc m’accommoder des points faibles de mon corps et faire pour le mieux selon mes capacités, mes projets, l’amour de mes proches, et ma conscience .

Je ne veux pas vivre mes derniers moments en étant empoisonnée par la mafia mondialiste qui ne cherche qu’à réduire la population. Je ne serais pas éternelle et ils auront peut-être le dessus. Je ne veux pas d’un cancer lié à un poison injecté, ni de la maladie de Creufzeldt Jacob ni devenir aveugle ou paralysée. Même si je ne suis plus e âge d’enfanter, je veux garder mon intégrité génétique telle qu’elle m’a été donnée à la naissance. Si je dois mourir d’une crise cardiaque, je préfère que ce soit à cause d’une trop forte émotion plutôt qu’à cause de leur produit potentiellement létal.

Ces maladies mortelles provoquées par les médicaments toxiques de Bigpharma ne font pas partie de mon histoire. elles et moi, c’est la même différence qu’entre l’amour consenti avec un partenaire de mon choix et un viol.

Un ami est mort en EPAHD d’une maladie neurodégénérative. Il n’avait même pas 70 ans. Avant les injections géniques, il ne voyait jamais de médecin, marchait beaucoup était robuste et quelques mois plus tôt il était monté sur le toit de sa maison pour y installer des panneaux solaires. Cette maladie neurodégénérative, ce n’était pas lui. Ce n’était pas son histoire car lorsqu’il écoutait ses origines paysannes, il se méfiait des médecins.

C’est l’histoire d’une mafia mondialiste responsable d’un génocide vaccinal qui a déjà tué 17 millions de personnes dans le monde et vu que les injections sont des bombes à retardement ce terrible bilan n’est que provisoire. C’est l’histoire d’une élite qui veut prendre le contrôle total de nos vies en nous transformant en rats de laboratoires.

Ce n’est pas notre histoire. On peut leur opposer, notre intégrité physique, notre âme. Nous ‘en sortirons peut-être pas tous en vie mais nos consciences réunies sont une énergie dirigée contre leur malveillance satanique. Ils savent qu’’ils ont déjà perdu la partie et sont prêts à tout. Mais pour ça ils ont besoin de notre soumission et de notre effacement. Ne leur faisons pas ce cadeau !

1 Plutôt la deuxième option

2 https://twitter.com/SabatierJeanMa1/status/1726672376816181529

3 « Art223-1-2.– Est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende la provocation à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique, lorsque cet abandon ou cette abstention est présenté comme bénéfique pour la santé des personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifestement susceptible d’entraîner pour elles, compte tenu de la pathologie dont elles sont atteintes, des conséquences graves pour leur santé physique ou psychique. »