On n’alertera jamais assez sur les conséquences terribles du port du masque obligatoire à l’école. Tous les parents et les personnes s’inquiétant du sort des enfants soumis quotidiennement à cette maltraitance institutionnelle sanitaire doivent lire la totalité de cette tribune publiée dans France Soir.
Il n’est pas question de résumer ce long article qui décrit si bien les problèmes physiologiques et psychologiques liés aux consignes sanitaires ainsi que les répercussions sur le développement de l’enfant, sa santé et sa scolarité.
La maltraitance institutionnalisée des enfants à l’école rappelle les plus sombres heures de l’Histoire.
« Ces maltraitances sont de divers ordres : incitations à la délation des autres enfants ou encore des membres de sa propre famille, incitation des enseignants à la délation des enfants qui tiennent « des propos manifestement inacceptables isolement et rejet, stigmatisation, exclusion, mépris pour la vulnérabilité de certains enfants, présence des forces de l’ordre autour des établissements et parfois en leur sein, harcèlement. »
Les professeurs sont devenus pour la plupart des professeurs collabos. Leur mission éducative semble désormais très loin.
Sans doute sont ils eux-mêmes agressés par le masque qu’ils sont tenus de porter en faisant cours ce qui les prive d’empathie envers les élèves qui donnent des signes de détresse. Certains sont paralysés par la peur désormais déconnectée de la réalité du Covid.
« Un autre exemple, parmi les nombreuses maltraitances qui semblent surgir au sein des établissements scolaires, de violence d’adultes envers les enfants et nous a été rapporté en témoignage direct est celui d’un professeur menaçant une élève de collège de lui faire un procès pour motif d’atteinte à la vie d’autrui, parce qu’elle avait enlevé son masque pour remettre un élastique de ses bagues d’orthodontie ! »
Voici le témoignage public d’une maman (de surcroît ancienne professeur de lettres classiques durant 16 ans) pour sa fille au collège, et qui reflète les témoignages que nous recevons ainsi que les déclarations des parents et des enfants en consultation :
« »Les profs sont de plus en plus odieux, mis à part une minorité ; une prof a tout de même osé lui dire que ce n’était pas son masque qui l’empêchait de respirer, mais qu’elle ²avait un problème au cerveau², une autre l’a accusée d’être potentiellement responsable de la mort de sa famille, une autre prof saisit les copies avec une pince, pour les mettre en quarantaine dans un sac avant de les toucher; L’infirmière du collège passe tous les 15 jours dans les classes pour rappeler aux élèves qu’ils peuvent tuer leurs grands-parents, et ne doivent pas faire de câlins en famille…
Cette mère relève différents actes de maltraitances à l’égard des enfants de la part du personnel enseignant, par exemple :
« Comment pouvez-vous tolérer qu’un élève se fasse exclure d’un cours parce qu’il a tenté à plusieurs reprises de respirer un peu en glissant le masque sous le nez ?
Comment pouvez-vous tolérer qu’un élève se fasse disputer et accuser de faire des histoires quand il se trouve avoir des vertiges à cause de l’hypoxie générée par le port du masque ? «
Si j’avais un ou plusieurs enfants en âge scolaire, je serais tentée e ne plus les mettre à l’école qui n’est plus un lieu éducatif. Arrêtez de culpabiliser les enfants ! Ils ne contaminent personne. Les cas positifs relevés dans les écoles ne sont dus qu’à la malhonnêteté de tests PCR bidons dont l’écouvillon enfoncé dans le nez n’est qu’une maltraitance de plus pour les enfants alors qu’il existe des tests salivaires
Les enfants ne tuent personne ! Si leurs grands-parents attrapent le Covid, rien ne prouve que ce sont leurs petits enfants qui les ont contaminés. Et si quelqu’un risque de les tuer c’est surtout le médecin qui refuse de leur prescrire un traitement qui l leur éviterait les complications.
Mais pourquoi laisse-t-on ainsi maltraiter les enfants ? Les parents doivent se regrouper pour agir.
Et pourquoi n’entend-on pas les syndicats, les partis politiques notamment d’opposition ? Que font les anciennes ministres de l’EN, les Najat Vallaud Belkacem ou Ségolène Royal. Elles auraient fait la même chose que Jean-Michel Blanqué ? Et les intellectuel ? Les psys devenus des stars, les Gérard Miller, Boris Cyrulnik ou Marcel Rufo ( ah oui Rufo il trouve très amusant le masque à 6 ans).
Tous devenus collabos ?
On ne peut pas ne pas voir que les méthodes pratiquées à l’école sont les mêmes que celles qui caractérisaient les nazis.
Ma mère d’origine autrichienne a grandi à Vienne pendant le nazisme ; Elle a souvent raconté un épisode de son enfance qui l’a profondément marqué. Lorsqu’un enfant se sentait mal en classe et le disait, l’institutrice l’humiliait et toute la classe devait en rire. Les enfants n’avaient pas le droit de se plaindre. Il leur fallait être forts ; Comment auraient-ils pu se faire plaindre alors que les soldats nazis étaient au front ?
La tribune de France-Soir précise :
« Les plaintes des enfants quant au port du masque peuvent être banalisées, voire réprimandées, sous prétexte qu’il ne serait pas si terrible de porter un masque toute la journée (« les chirurgiens en portent bien eux ! »). D’où le message implicite qu’il n’est désormais plus permis aux enfants de se plaindre dans leur quotidien d’un quelconque désagrément ou mal-être physique et/ou psychologique. »
Si l’on remplace les soldats nazis au par les chirurgiens ( nous sommes en guerre. Le corps médical défile avec l’armée le 14 juillet), il n’y a aucune différence.
Voila où nous en sommes aujourd’hui et ce n’est pas un petit virus appelé Sars_cov2 qui en est responsable. Nous en sommes là parce que nous laissons faire et que notre silence lâche ou complice tue nos enfants à petit feu.
Horizons off 