Il y a juste un an, ils ont décidé de voler nos vies. Les rues de Bordeaux sont devenues désertes. Les enfants n’ y jouaient plus. Même les chats s’y faisaient discrets comme si le confinement leur offrait plus de cachettes et que la nature retrouvée se prêtait mieux à leurs rendez-vous félins. Ils nous ont demandé de signer un ausweis à présenter à la police pour sortir le chien et pour faire nos besoins dans le périmètre autorisé.
Nous avons accepté parce que nous avions peur. Il faut se remémorer des images de Wuhan où dans les rues les gens tombaient comme des mouches.
C’était avant. Depuis le virus a muté. Il est parti puis revenu dans les tests PCR. Les gens auraient dû être moins inquiets vu qu’ils ne savent plus trop pourquoi il faut avoir peur, Beaucoup d’entre eux ont ancré ce réflexe en eux . Il leur suffit d’entendre certains mots comme « Covid », « gestes barrière », « taux d’incidence » ou « réanimation » pour réactiver et perpétuer en eux des comportements de crainte et de soumission.
Ils ne se posent même plus la question de savoir si le confinement a une utilité médicale ou prophylactique. Depuis celui du mois de mars 2020, le confinement est devenu une option médicale malgré ses conséquences humaines désastreuses. Nous sommes conditionnés pour subir.
La tentation de nous assigner à résidence hante les plateaux télé. Ces menaces sont répétées en boucle par des intervenants qui du médecin à l’éleveur de bovins se succèdent pour demander que les gens se confinent. Une fois ce travail de propagande accompli, tout ce petit monde se retrouve dans un resto clandestin sans masque ni gestes barrière. Ils lèvent leur verre à la santé des gueux bouclés chez eux devant la tété ou officient ces prédicateurs malhonnêtes.
Au bout d’un an, c’est le retour à la case départ ? Alors, rien n’a changé ? Hélas si. Le premier conditionnement nous a fait entrer dans le cercle infernal de la dictature mondiale. Depuis, toutes les contraintes s’accumulent : Masques confinements couvre-feux, tests quasi-obligatoires, vaccin expérimentaux ou plutôt injection d’un code génétique, surveillance électronique. Tout ça pour un virus que l’on sait soigner pour peu qu’on le veuille bien ?
Qu’est-ce qui autorise nos gouvernants à nous plonger dans un monde que l’on n’a pas choisi. Quel mandat du peuple ont-ils reçu pour enlever nos libertés et pour mettre en jeu notre survie en faisant pression pour nous injecter un produit qui au fil des mois sera responsable de centaines de milliers de morts. Mais de quel droit ?
Pourtant le Sars-cov 2 responsable du Covid19 se faisait moins méchant qu’à ses débuts, Qu’il ait été intentionnellement créé en laboratoire ou qu’il s’en soit échappé accidentellement, il a muté perdant de sa force. Ce virus étant indispensable aux gouvernants pour mener à bien leur projet, ils ont tenté de ralentir son évolution grâce aux confinements, pour qu’il atteigne moins vite son pic et sa décrue mais qui en même temps augmentent le risque de contamination à l’intérieur.
Mais comme ce coronavirus semblait vouloir s’effacer, la vaccination est venue lui offrir de nouvelles possibilités de mutation. Tous les pays qui ont massivement vacciné ont vu les contaminations repartir à la hausse de façon spectaculaire. Mais il s’agit de nouveaux variants. Le variant anglais ne voyage pas trop à cause du Brexit. Le variant brésilien danse la samba. Il y a des variants dans tous les pays à tel point qu’on pourra bientôt organiser une coupe du monde des variants.
Le petit dernier est Français ou plutôt breton. Il a la particularité d’être indétectable, ce qui va lui permettre d’échapper au testing bientôt obligatoire dans les bars ou restos. Ni vu ni connu, ce variant clandestin pourra ainsi contaminer les bons citoyens, testés vaccinés, fichés. Le seul symptôme de ce variant breton, c’est avoir des envies de crêpes et de cidre.
Avec les élections régionales, il faut s’attendre à des variants de chaque région. Plaisanterie mise à part, on nous prend pour des cons et ça empire au fil des mois.
J’ai rassemblé la plupart de mes articles sur le Covid en un livre « Maltraitance sanitaire » bientôt en téléchargement gratuit. Je n’aimerais pas avoir à publier la suite mais au rythme où vont les choses qui peut dire où nous en serons dans un an ?